La personne qui se cache derrière le pseudonyme de « Mathias Cardet » a déjà été évoquée sur le blog à propos de son livre « Hooliblack » qui raconte un passé vraisemblablement inventé de hooligan du Parc des Princes.
Il avait de nouveau été question de lui en creux dans un article sur la réédition de l’ouvrage « Cant Stop, Wont Stop » dont Cardet a signé un pastiche malhabile.
Les Soledad Brothers sont de retour et montrent en images ce qu’il y a comme idéologie sous la capuche de Mathias Cardet aka « j’ai pas de face ».
Les Soledad Brothers avaient déjà frappé:
La preuve que Kébi Séba travaille avec des skin Nazis qui agressent des noirs.
Comment Alain Soral travaille avec des associés liés à Israel.
37 Réponses vers “Mathias Cardet : un bon français”