C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense.
On ne peut détourner l’attaque d’une bête sauvage les mains nues
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5 juillet 2014
[…] le chemin à prendre pour avancer vers sa propre liberté. Enfin, d’ici, on se souvient que Nelson Mandela […]
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6 juillet 2014
[…] D’ici, on peut voir que le peuple palestinien est déterminé, organisé, fier, digne, et qu’il n’a besoin de quiconque pour lui dicter le chemin à prendre pour avancer vers sa propre liberté. Enfin, d’ici, on se souvient que Nelson Mandela disait : […]
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7 juillet 2014
[…] le chemin à prendre pour avancer vers sa propre liberté. Enfin, d’ici, on se souvient que Nelson Mandela disait : « C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme […]
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4 septembre 2014
[…] été soutenu dans ma lutte par trois hommes. Nelson Mandela m’a appris que si vous poursuivez une noble cause vous pouvez porter le poids du monde sur vos […]
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4 Réponses to “On ne peut détourner l’attaque d’une bête sauvage les mains nues”