Suleima – سُلَيمى
30 Juil
Les deux enfants du couple se détournent de leur mère lorsqu’elle demande le divorce. Suleima, une femme à la fois forte et vulnérable, reste fidèle pourtant à ses convictions et soutient imperturbablement ses concitoyens. A deux reprises, elle est arrêtée lors de sit-ins à Damas, alors qu’elle essaie de protéger des manifestants contre les forces de police. « Plutôt mourir que d’assister sans réagir à leur arrestation », déclare Suleima.
Jalal Maghout est né en 1987 à Damas. Il fait ses études à l’école supérieur d’art de la capitale syrienne, dont il sort major de promotion en 2010. La même année, il signe son premier film indépendant Creatures of Inexistence, suivi de Canvas on Mixed Media deux ans plus tard. Son troisième court, Suleima, est projeté en 2014 au Festival international du film documentaire et d’animation de Leipzig. Aujourd’hui, Jalal Maghout vit et travaille à Berlin.
La séance du dimanche- L’Inde dans l’oeil d’un photographe : Raghu Rai –
29 JuilL’Inde dans l’oeil d’un photographe : Raghu Rai
Livre du samedi : Mixtapes / Sylvain Bertot
28 Juil
Mixtapes : Un format musical au coeur du rap
Sylvain Bertot
L’auteur retrace l’évolution de ces sélections de morceaux et leur importance grandissante dans l’histoire du rap, des compilations faites maison et vendues hors marché aux mixtapes parfois mieux considérées que les albums eux-mêmes. Il propose ensuite une sélection d’enregistrements réalisés par des artistes célèbres ou des rappeurs moins connus mais prometteurs. Lire la suite
« BLACK LINES 3 » TWE x TALRI 2.0 x SPIKE LOUCHE
27 Juil
3ème épisode des Fresques « Black Lines » organisé par LASK et Itvan.k (TWE). D’abord en banlieue puis maintenant dans Paris, leurs fresques sont un moyen de s’inscrire dans ce mouvement de contestation des pouvoir en place et de l’immortaliser sur un mur: La peinture, un moyen de lutte. Un film signé Spike Louche Avec les voix de Talri 2.0 Intro: Abbé Pierre
Barbès Blues au temps du couvre-feu (90) / Farid Taalba
25 JuilBarbès Blues au temps du couvre-feu / épisode précédent
– Maître, pourquoi une telle question ? Ne sommes-nous pas assez pris dans la brume pour en plus y chercher les racines du brouillard ? Serait-ce moi qui n’y verrais pas clair ? Ou alors estimez-vous que nous sommes dans un lieu à la solde de… l’administration ?… Car je sais que de nombreux militants de chez nous et des différentes maisons mères du nationalisme, ont pris le pli de broder du sucre sur le dos des zawiyas et des marabouts. Ils oublient d’abord qu’il n’y aurait eu ni d’émir Abdelkader, ni de Bou Baghla ou de Si Moqrani sans eux et, qu’en matière politique, tous nos éminents défenseurs d’autrefois n’auraient jamais rien fait sans eux. Ah, en ce temps, ils étaient la bête noire de l’administration et un éminent juriste colonial de l’époque résumait bien la perception qu’elle s’en faisait en écrivant que « la zawiya n’est pas seulement un monastère où l’on enseigne le Coran, où les malheureux trouvent un abri, mais plutôt et surtout un foyer de révolte où se trament dans l’ombre des plans d’insurrection » ! Ah, c’est sûr qu’aujourd’hui la zawiya et le maraboutisme peuvent paraître dépassés face aux nouvelles organisations que sont les associations, les syndicats et les partis qui ont débarqué avec leurs journaux, leurs livres, leurs lieux d’activités et la couscoussière de la politique internationale. Mais nos militants jettent aussi aux oubliettes la répression dont ils ont été l’objet et comment l’administration s’est acharnée à les Lire la suite
#MarcheADAMA2AnsDeLutte
23 Juil#MarcheAdama le 21 juillet 2018
2 ans après la mort d’Adama Traoré tué par des gendarmes.